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Les Aiguilles de Port-Coton à Belle-Île en Mer : le trésor de Claude Monet

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La Pointe du Raz – une proue de granite à l’extrême ouest de la France

Posté le Jeudi 17 février 2011dans Bretagne, Falaises, France, Océan, Payspar Alexandre RosaImprimerText Resizer Text Resizer

On l’appelle Beg ar Raz dans le Finistère, cet endroit où la terre se finit. A la pointe ouest de la Bretagne se trouve ce cap rocheux en forme de proue s’avançant dans la mer d’Iroise, plongeant dans les eaux agitées de ce bout d’Océan Atlantique du haut de ses 72 mètres. La Pointe du Raz est l’un des lieux les plus emblématiques des côtes granitiques de la Bretagne.


Labellisé Grand Site de France par le Ministère de l’Écologie, de l’Énergie du Développement Durable et de la Mer, la Pointe du Raz fait rêver. En breton, en dialecte normand et en français, le terme raz désigne un courant rapide. Il provient du mot norrois rás, arrivé en France lors de la colonisation de la Normandie par les scandinaves. Il a également donné le terme raz-de-marée et a la même origine que le mot anglais race (course).

La raison d’une telle appellation vient des courants violents qui séparent la pointe du Raz de l’île de Sein, située à 8 kilomètres à l’ouest. Depuis l’Antiquité, ce passage auparavant appelé le Raz de Sein était réputé comme très dangereux pour la navigation, et plus particulièrement la nuit et à la mauvaise saison, en raison de la violence de ses courants marins, c’est pourquoi le phare de la pointe et le phare de l’île furent bâtis dès que les progrès réalisés durant le premier tiers du 19ème siècle dans les moyens d’éclairage et les équipements optiques le permirent.

Le rapport de la commission des phares, adopté en 1826, qui définissait le premier réseau d’éclairage maritime français, prévoyait un "phare de premier ordre" à feu fixe au Bec du Raz (ou du Ras). Ce phare d’environ 18 mètres de hauteur fut construit sous cette appellation en 1839 et allumé en même temps que celui de l’île de Sein. Il fut éteint en 1887, car remplacé par le phare habité de la  Vieille.

Une tourelle en tôle portant un feu plus modeste fut établi vers 1870 à flanc de falaise au Nord-Ouest afin de créer un alignement phare-feu pointant sur l’îlot de la Vieille. Il était appelé "feu de la falaise du Raz" et fut également éteint en 1887.La base du phare du Bec du Raz fut alors remaniée pour en faire un sémaphore.

Un phare habité, le phare de Tévennec, fut construit de 1869 à 1874 sur l’îlot de Tévennec et fut allumé en 1875. En 1910, il fut transformé en feu permanent sans gardien. En 1887, les travaux de la tourelle de la plate furent entrepris sur le platier de "la Plate" non loin du phare de la Vieille alors en construction et ne furent achevés qu’en 1909. Aujourd’hui inhabités, ces phares font face à la statue de Notre-Dame des naufragés, sculptée par Cyprian Godebski, placée à l’extrémité du plateau sommital.

De nombreuses légendes sont racontées depuis toujours par les habitants et étaient autrefois perpétuées par les guides locaux. L’Enfer de Plogoff, du nom du village le plus proche de la pointe, est une galerie creusée par la mer sous le cap. Elle est réputée pour être le lieu où sont ramenés les noyés dont on entend les gémissements.

La beauté du site est renforcée par celles des côtes proches qui s’incurvent au nord le long d’une grande plage sableuse au fond de la baie des Trépassés qui est fermée par un promontoire massif appelé la pointe du Van au-delà de laquelle on aperçoit l’immense baie de Douarnenez dont l’entrée est bornée par le cap de la Chèvre encore plus haut et plus massif. Vers le sud s’étend la baie d’Audierne.

Aujourd’hui préservé, le site n’est pour ainsi dire accessible qu’à pied. Si vous vous y rendez-vous en voiture, il vous faudra faire halte au parking payant construit à distance respectable du site et faire le reste du parcours à pied. Pour cela, vous devrez traverser une zone commerciale d’où part, à la saison haute, une navette payante (au gaz naturel, ndlr) vous rapprochant du sémaphore et des célèbres falaises pour les personnes à mobilité réduite ou ceux qui n’ont pas envie d’emprunter les sentiers.


La beauté sauvage de la Pointe du Raz a inspiré de nombreux écrivains comme Victor Hugo ou Gustave Flaubert. Par leurs récits, ils ont contribué à la renommée internationale de ce bout du monde. Dès la fin du 19ème siècle, l’intérêt suscité par les stations balnéaires, l’émergence du transport ferroviaire et de l’automobile favorisèrent le déplacement des premiers touristes fortunés qui découvrirent le Cap Sizun et bien sûr la Pointe du Raz.

Son mythe s’installait peu à peu, faisant de cet éperon de granite une étape incontournable des voyageurs attirés par les curiosités naturelles et  découvrant ainsi les régions françaises.

Dès lors, les premières installations touristiques apparurent. La fréquentation ne cessa de s’amplifier, ce qui incita tout naturellement les habitants à exploiter les potentialités d’une économie touristique naissante. Déjà, des visites guidées étaient organisées. En 1909, les deux premiers hôtels du lieu furent construits. Au total, cinq hôtels proposeront leurs services aux voyageurs de l’entre deux guerres.

Des problèmes liés à une surfréquentation touristique se posaient déjà à cette époque. Le Touring Club décida de saisir le Préfet pour lui demander le classement du site au titre de la loi de 1930. En 1928, le Conseil Général du Finistère avait déjà examiné un projet visant à acquérir le site de la Pointe du Raz. Toutefois, l’opération ne fut pas réalisée car il s’agissait simplement d’empêcher la construction d’un hôtel à la Pointe du Raz, et il avait suffit de classer le site pour interdire les travaux. Le classement interviendra en 1943, mais ne concernera que l’extrême Pointe.


Après la Seconde Guerre Mondiale, le tourisme connut un nouvel essor. De nouvelles constructions s’installèrent sur la lande, en retrait du sémaphore. Entre 1948 et 1950, plusieurs ouvrages imposants (le musée, les hôtels de l’Atlantique et de l’Iroise) furent construits malgré le classement du site.

A cela s’ajoutaient de nombreuses petites boutiques. En 1956, l’achat de la Pointe du Raz par le Conseil Général du Finistère fut ainsi de nouveau à l’ordre du jour. L’opération était alors estimée entre 12 et 15 millions de francs. En 1958, les élus locaux décidèrent de contenir le développement d’installations commerciales précaires en regroupant les activités et en proposant des structures salubres. En 1962, une cité commerciale composée de 14 commerces fut réalisée, ainsi qu’un parking de deux hectares. Mais l’intégration paysagère de cette cité commerciale et des hôtels ne faisait pas l’unanimité. La Pointe du Raz ressemblait alors à un vaste espace fortement urbanisé, doté certes d’une vue magnifique, mais au détriment d’un couvert végétal qui s’appauvrit.

La fréquentation touristique des pointes du Raz et du Van et de la Baie des Trépassés augmenta rapidement pour passer de 300.000 visiteurs par an an 1970 à 500.000 en 1990. Les conséquences sont prévisibles : l’extrémité de la Pointe du Raz fut mise à nu. Non loin de là subsiste un sol résiduel colonisé localement par une végétation particulièrement dégradée.

Le million de visiteurs annuel des années 2000 prouve que des mesures rigoureuses de protection environnementale pour restaurer le couvert végétal, composé principalement de bruyère, étaient nécessaires. À cette fin, les commerces ont été déplacés, et deux hôtels ont été détruits.

L’opération a été réalisée en 1996-2000 dans le cadre d’un programme financé par l’État et des entreprises mécènes pour faire de ce lieu un Grand Site de France. Le Syndicat mixte pour l’Aménagement et la Protection de la Pointe du Raz et du Cap Sizun rassemblant la commune, la communauté de communes du Cap Sizun, le Conservatoire du Littoral et le conseil général, assure la gestion du site.

Concrètement, les interventions régulières ont permis de réintroduire avec succès les espèces végétales qui ont peu à peu recolonisé les espaces dégradés. Un plan de gestion pluriannuel sert de cadre général aux différentes actions engagées afin de pouvoir transmettre ce patrimoine naturel aux générations futures dans les meilleures conditions. Le Syndicat Mixte de la Pointe du Raz assure toutes les actions de communication, d’information et de sensibilisation au respect de ces espaces fragiles.

Les sites restent accessibles librement tout au long de l’année, "à vos risques et périls", explique un panneau. Au delà d’une certaine distance du sémaphore, l’espace n’est en effet plus plat du tout et il vous faudra jouer les équilibristes et les alpinistes pour continuer à progresser jusqu’au bout du bout. Une prouesse réalisée par quelques touristes casse-cou seulement, et c’est tant mieux pour ceux qui y parviennent tant la vue est superbe et le lieu calme, en contraste avec les espaces plus accessibles. Jugez plutôt :

Voir toutes les photos de la Pointe du Raz dans la galerie photos de TravelPics.fr

Photos par Alexandre Rosa

3 Comments

  • Sylvie dit :

    En effet, c’est un magnifique site. Sur la photo numéro 40, il me semble apercevoir des gens. Je me demande bien comment ils ont fait pour arriver jusqu’ici car les eaux sont vraiment agitées à cet endroit.
    Comme d’habitude, tu as fait de très belles photos. Un bravo particulier pour celle avec la mouette en vol.

  • Fort heureusement, il n’y a personne sur le rocher situé en pleine mer visible sur la photo 40. En revanche, il faut savoir que le paysage visible sur la première photo de cet article est tout ce qu’il y a pour accéder au bout du cap rocheux.
    Ceux qui désirent repousser leurs limites et voir le superbe paysage panoramique qui vous est montré au pied de cet article doivent traverser les rochers surplombant le vide. Il n’y a aucun sentier pour aider le visiteur.

  • visiteur dit :

    Avertissement aux casse-cous : l’accès aux rochers après le panneau de mise en garde est extrêmement périlleux. Il n’y a vraiment pas de sentier aménagé pour les visiteurs. Le relief est complètement déchiqueté, les rochers sont parfois lisses et mobiles, et il y a souvent un vent très fort. La moindre chute sera fatale.

    En quatre années, je n’ai jamais eu le courage (ou la folie) d’aller au delà d’un certain point.
    La plus belle des photos du monde ne vaut pas une vie…

    Très bel endroit mais, je le répète, terriblement dangereux !

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