Sur les bords du lac de Garde, au nord de l’Italie, se trouve la cité médiévale de Sirmione, dont l’entrée passe par un bastion véronais du 13ème siècle. Ce château est l’un des plus complets et les mieux conservés d’Italie, ainsi qu’un des rares exemples de fortification en bord de lac. La construction du fort [...]

Sirmione – la forteresse Scaliger défend le Lac de Garde pour Vérone

Claude Monet décrivait ainsi les Aiguilles de Port-Coton à Belle-île-en-Mer, qu’il a peintes à maintes reprises : "C’est sinistre, diabolique, mais superbe et je ne crois pas retrouver pareille chose ailleurs". Il n’est pas le seul que les lieux aient inspiré : Matisse, Russell, Auburtin… Situées sur la côte sauvage de cette île, la plus [...]

Les Aiguilles de Port-Coton à Belle-Île en Mer : le trésor de Claude Monet

Le site d’art rupestre d’Alta (Helleristningene i Alta) fait partie d’un site archéologique situé non loin de la ville d’Alta, dans le conté du Finnmark, en Norvège septentrionale. Depuis que les premières peintures (ou plus exactement les pétroglyphes) y ont été découverts en 1972, plus de 5000 autres bas-reliefs ont été mis au jour sur [...]

Gravures rupestres d’Alta–des rennes de l’âge de pierre gravés le long des fjords

On connaît la Laponie pour ses rennes et ses forêts de pins s’étendant à perte de vue. C’est oublier que la nature s’y exprime avec force, notamment au travers de ses rivières. C’est en effet en Laponie Suédoise, dans les environs d’Arvidsjaur, que se trouvent les plus grandes cataractes naturelles d’Europe. Les chutes n’impressionnent pas [...]

Storforsen – les plus grandes cataractes naturelles d’Europe traversent la Laponie

En Finlande, Helsinki est l’une des rares villes au monde à posséder pas moins de trois cathédrales. La plus connue d’entre elles est dénommée Helsingin tuomiokirkko en finnois. C’est la cathédrale évangélique luthérienne d’Helsinki. Située en plein centre-ville, sur la place de Senaatintori, elle fut construite entre 1830 et 1852 dans un style néoclassique selon [...]

Cathédrale Luthérienne d’Helsinki – une icône allemande sur l’ancienne terre des tsars

Située à 2518 kilomètres du Cap Nord, le point le plus septentrional d’Europe, la péninsule de Lindesnes n’en est pas moins située en Norvège elle aussi. Si cette distance est si importante, c’est que la Norvège s’étend sur d’immenses étendues, du nord au sud, à l’ouest de la Scandinavie. Lindesnes en est son point le [...]

Phare de Lindesnes : le point le plus méridional de Norvège, où se rencontrent Mer du Nord et Mer Baltique

Le Norske Opera, l’opéra d’Oslo, est l’une des plus récentes et plus étonnantes constructions modernes de Norvège. Construit sur le port commercial et industriel du quartier de Bjørvika, dans la partie est du centre-ville de la capitale du pays, l’édifice abrite l’Opéra National de Norvège (opéra et ballet). Contrôlée par Statsbygg, l’agence gouvernementale qui gère [...]

Norske Opera – le renouveau de la banlieue d’Oslo en lignes obliques

La Valachie est la mère patrie des roumains, son nom dérivant de Vlach, ancien terme utilisé pour désigner l’ethnie roumaine. Cette région couvre le tiers sud du pays, coupé en deux par le cours de l’Olt. Souvent reléguée au second plan, voire négligée par les guides et les circuits touristiques, la Valachie ne saurait rivaliser [...]

Le Monastère d’Horezu, chef-d’œuvre de l’art Branconvan en Valachie

Vue depuis la France, la Roumanie semble être un pays pauvre d’Europe de l’Est, d’où nous arrivent nombre de migrants vivant dans le plus grand dénuement. Si le tableau peut être vrai dans certains villages, il serait réducteur de considérer que la Roumanie n’est peuplée que de Roms, et qu’elle n’a rien à offrir au [...]

Le château de Dracula au cœur des Carpates : la citadelle de Poenari

Situées sur la côte ouest de l’Irlande, les falaises de Moher s’élèvent jusqu’à 214 mètres au-dessus de l’océan Atlantique, sur une longueur de 8 kilomètres. Point de passage obligé pour tout touriste à la découverte de l’île des farfadets, l’endroit respire la tranquillité et la puissance de la nature, à quelques encablures au sud-ouest des [...]

Falaises de Moher – quand l’Irlande plonge de 214 mètres dans l’Atlantique

L’Ecosse est connue pour ses châteaux. Beaucoup sont hantés selon les légendes qui font des Highlands écossais une région du globe empreinte de mystères qui inspire, aujourd’hui encore, les cinéastes du monde entier (la sortie de "Brave", le film des studios Pixar de 2012, est là pour le prouver). Pourtant, certains châteaux écossais ne sont [...]

Château de Balmoral – la résidence écossaise de la Reine Victoria et du Prince Albert

Qui n’a jamais entendu parler du célèbre Panthéon? Devenu véritable nom commun, ce bâtiment de la Rome antique a été copié dans son concept dans plusieurs villes, dont Paris. Mais C’est bien l’édifice religieux antique situé sur le Champ de Mars, bâti sur l’ordre d’Agrippa au 1er siècle av. J.-C., endommagé par plusieurs incendies, et [...]

Panthéon de Rome – le plus grand dôme de l’Antiquité, tombeau des grands Hommes

Le Halászbástya, ou Bastion des Pêcheurs, est une terrasse de style néo-gothique et néo-romane située à Budapest, sur la rive Buda du Danube. Elle surplombe la capitale hongroise depuis la colline du château de Budapest, tout près de l’église Matthias. Le Bastien des Pêcheurs fut dessiné et construit entre 1895 et 1902 selon les plans [...]

Bastion des Pêcheurs – un rempart « moderne » sur les hauteurs de Budapest

En raison de son statut de monument universel, la statue de la Liberté a été copiée et reproduite à différentes échelles et en divers endroits du globe. Ces reproductions vont des simples miniatures souvenirs vendues dans la boutique du musée de la structure, aux reproductions à grande échelle qui siègent à l’entrée de certaines villes, [...]

Statue de la Liberté de l’île des cygnes à Paris – une maquette signée Bartholdi

Une ville construite sur des collines ne manque généralement pas d’attrait. Si elle est située sur une péninsule, un port lové en son cÅ“ur, s’y ajoute la beauté. Capitale de la Norvège occidentale, Bergen occupe 7 collines, à l’instar de Rome. Elle s’est développée vers l’intérieur des terres et le Puddefjorden à partir de son [...]

Bryggen – les demeures en bois colorées de la Ligue Hanséatique à Bergen

On l’appelle Beg ar Raz dans le Finistère, cet endroit où la terre se finit. A la pointe ouest de la Bretagne se trouve ce cap rocheux en forme de proue s’avançant dans la mer d’Iroise, plongeant dans les eaux agitées de ce bout d’Océan Atlantique du haut de ses 72 mètres. La Pointe du [...]

La Pointe du Raz – une proue de granite à l’extrême ouest de la France

Il s’agit du plus vieux monument de Paris dans son site d’origine. A la manière du Colysée de Rome ou des Arènes de Nîmes, les Arènes de Lutèce remontent à l’époque gallo-romaine, au 1er siècle après J.-C. Avec les Thermes de Cluny, elles sont le seul vestige du passage des romains à Lutèce (aujourd’hui Paris). [...]

Arènes de Lutèce : un amphithéâtre gallo-romain au cœur de la capitale

A quelques semaines du nouvel an chinois,  nous avons décidé non pas de vous emmener en Chine, mais à quelques kilomètres de Paris : à Alfortville très exactement. Au confluent entre la Seine et la Marne se trouve en effet le complexe touristique chinois le plus important jamais construit en France. Aujourd’hui partiellement abandonné, ce [...]

Chinagora – un complexe touristique sous forme de Cité Interdite fantôme à deux pas de Paris

Noël est la saison des cadeaux, mais avant qu’un géant américain du soda n’invente le gros bonhomme à la barbe blanche vivant dans le grand froid que nous connaissons tous sous le nom de Père Noël, cette saison était principalement l’occasion de se replonger dans l’histoire. Une histoire chaude, puisqu’elle se déroule en Palestine : [...]

De la Bavière à la Provence : des santons à la basilique de Fourvière pour sa crèche de Noël géante

Le mois de décembre est enfin là, et après un épisode neigeux plutôt catastrophique en ÃŽle-de-France, il est temps de penser à Noël. Les enfants s’y sont mis depuis presque deux semaines avec leur calendrier de l’Avent, mais quid des parents? Outre les vitrines de Noël des Grands Boulevards parisiens, ces derniers trouveront certainement leur [...]

Marché Médiéval de Noël à Provins – Rois Mages et troubadours animent banquet et bal d’époque
You're browsing: TravelPics.fr » Cimetière,France,Grottes,Paris,Pays,Ruines » Catacombes de Paris – un ossuaire devenu Å“uvre d’art souterraine

Catacombes de Paris – un ossuaire devenu œuvre d’art souterraine

Posté le Mardi 23 novembre 2010dans Cimetière, France, Grottes, Paris, Pays, Ruinespar Alexandre RosaImprimerText Resizer Text Resizer

Si l’on vous dit "catacombes", beaucoup penseront immédiatement à "squelette". Influencés par les films d’Indiana Jones, on s’image les explorant une torche enflammée à la main, faite avec un tibia trouvé là. Peut-être même que l’endroit est infesté de rats, parcouru de canaux d’eau putride, ou bien qu’un squelette va se réveiller pour vous poursuivre! Heureusement (ou pas), la réalité est toute autre.


Mais que font ces squelettes au milieu de tunnels souterrains? Bien sûr, on enterre les morts sous terre, mais ça n’explique pas comment les crânes d’étrangers se sont retrouvés organisés au milieu de tibias bien alignés pour former des cÅ“urs ou des croix. Il faut savoir que les tombes individuelles n’ont pas toujours été aussi communes qu’aujourd’hui. Ce que l’on appelle "catacombes de Paris", par exemple, correspond en fait à "l’ossuaire municipal" ouvert en 1810 sur le site d’anciennes carrières du 18ème siècle.

C’est d’ailleurs souvent le cas, les catacombes n’étant finalement qu’un vaste cimetière collectif réutilisant des galeries creusées dans un tout autre but. Longues d’1,7 kilomètre et enfouies 20 mètres sous la surface du 14ème arrondissement de Paris, les catacombes de notre capitale peuvent facilement être visitées à partir de la place Denfert-Rochereau. Elles constituent d’ailleurs l’un des monuments les plus visités des touristes, et ce depuis le 19ème siècle!

A l’époque situées au sud du mur d’enceinte de la ville, baptisé Porte d’Enfer en raison de la présence de l’ossuaire en ce lieu, les catacombes ne couvrent qu’une infime partie des "carrières de Paris".


Histoire

Depuis l’époque Romaine, la ville de Paris enterre ses morts à l’extérieur de ses murs. Une pratique qui changea rapidement avec l’avènement de la chrétienté et sa tradition d’enterrer ses fidèles sur une terre consacrée souvent adjacente à une église. Au 10ème siècle, en raison de l’expansion de la ville au cours des siècles, on pouvait trouver de nombreux cimetières paroissiaux à l’intérieur des limites de la ville, même dans des lieux très centraux. Toutefois, quand la population de Paris vint à augmenter rapidement, certains de ces cimetières devinrent saturés là où ils ne pouvaient plus grandir.

Très vite, seuls les plus riches purent s’offrir des funérailles en terre consacrée, ce qui mena au 12ème siècle à l’ouverture d’un cimetière central pour les enterrements plus communs. D’abord dépendant de l’église Sainte-Opportune, ce cimetière situé près du quartier actuel des Halles fut rebaptisé Cimetière des Innocents, disposant de sa propre église et paroisse vers la fin du siècle.

La pratique habituelle d’alors était d’enterrer les moins riches en masse. Quand une fosse commune était pleine, elle était simplement recouverte et on en creusait une nouvelle. Peu de morts enterrés de cette façon avaient droit à un cercueil. Souvent, la boîte utilisée pour une cérémonie funéraire était réutilisée pour la suivante. Les résidus organiques engendrés par la décomposition des tissus humains pénétraient ainsi directement dans la terre, engendrant une situation devenue inacceptable dans une ville dont la principale source de liquide était l’eau de puits!

Des cimetières saturés

Avant la 17ème siècle, les conditions sanitaires autour du Cimetière des Innocents était insoutenables. Comme il s’agissait d’un des cimetières parisiens les plus demandés et d’une source de revenus importante pour l’église, le clergé continua à y inhumer les fidèles décédés même après que le terrain commença littéralement à "déborder". Pour faire de la place, les quatre côtés du cimetières servirent de lieu de stockage pour les ossements des morts qui avait "reposé" suffisamment longtemps dans les fosses communes pour que leur chair se soit complètement décomposée. Une fois vidée, une sépulture commune était réutilisée pour enterrer de nouveaux arrivants, mais la terre était déjà saturée de restes humains en décomposition.

Une série de décrets visant à limiter l’usage du cimetière ne remédia que peu à la situation, et ce ne fut donc qu’à la fin du 18ème siècle que l’on décida de créer trois nouveaux sites d’inhumation à la périphérie de la ville. Il s’agissait du Cimetière de Montmartre au nord, du Père Lachaise à l’est et du Cimetière de Passy à l’ouest. Plus tard, on ajouta le Cimetière du Montparnasse au sud.


Une partie de la raison pour laquelle rien ne fut fait pour enrayer les pratiques insoutenables des cimetières parisiens était le manque d’idée quant à ce que l’on ferait des morts exhumés des cimetières intra-muros de la ville. Le gouvernement avait cherché et consolidé des carrières souterraines abandonnées depuis longtemps dans et autour de la capitale depuis 1777, et ce fut enfin le Lieutement Général de Police qui gérait ces travaux, Alexandre Lenoir, qui eut l’idée d’utiliser ces tunnels vides à cet effet.

Son successeur, Thiroux de Crosne, choisi un lieu au sud de Paris, la Porte d’Enfer (aujourd’hui la place Denfert-Rochereau, donc), pour créer le premier ossuaire municipal. Dès 1786, on commença à exhumer et à transférer tous les morts des cimetières parisiens vers cette sépulture souterraine.

Le transfert des morts vers les anciennes carrières souterraines

De la veille d’une cérémonie de consécration le 7 avril de la même année, suivant une procession de prêtres, commença une parade de charrettes couvertes de noir et tirées par des chevaux qui continua à défiler plusieurs années durant. Selon un schéma supervisé par l’Inspecteur Général des Carrières, Charles-Axel Guillaumot, les ossements furent déposés dans un large puits creusé sur un terrain acquis auprès de "La maison de la Tombe Issoire", une maison située près de la rue du même nom. Ils furent ensuite distribués à travers tout le réseau de galeries souterraines par des travailleurs qui faisaient une chaîne. On déposa près de la même maison toutes sortes de croix, urnes et autres restes excavés des nécropoles parisiennes.

Dans leurs premières années, les catacombes étaient ainsi principalement un dépôt d’ossements, mais le successeur de Guillaumot, Louis-Etienne Héricart de Thury, supervisa les rénovations qui allaient transformer les galeries souterraines en vraie sépulture que l’on pourrait visiter, comme tout mausolée. A partir de 1810, en plus de réarranger les crânes et fémurs que l’on voit dans les catacombes aujourd’hui, il utilisa les pierres tombales et autres décorations funéraires qu’il pouvait trouver (beaucoup avaient disparu après la révolution française de 1789) pour compléter les murs d’ossements.

Un ossuaire devenu une Å“uvre d’art

Aujourd’hui, l’entrée des catacombes se trouve dans le pavillon ouest de l’ancienne Barrière d’Enfer qui fermait à l’époque cette porte de Paris. Après avoir descendu un escalier en colimaçon de 19 mètres dans l’obscurité et un silence brisé uniquement par le gargouillement d’un aqueduc invisible, et traversé un long couloir zigzaguant, le visiteur se trouve devant une sculpture qui existait avant même que cette partie des mines ne devienne un ossuaire. Il s’agit d’un modèle de la forteresse française de Port-Mahon, créé par un ancien inspecteur des carrières.

Peu après, le visiteur se trouve face à une arche de pierre marquant l’entrée de l’ossuaire en lui-même. Il est affublé de l’inscription "Arrête, c’est ici l’empire de la Mort".

Au delà se trouvent les galeries, halls et autres cavernes aux murs consciencieusement décorés d’ossements arrangés en motifs. Certains sont artistiques, comme cette forme de cÅ“ur faite en crânes incrustés dans un mur de tibias, ou ce pilier central rendu sphérique par l’adjonction d’ossements. En chemin, vous passerez devant des "monuments" créés des années avant la rénovation des catacombes, comme une fontaine d’eau de source baptisée "La Samaritaine" en raison des gravures que l’on peut y observer.

Tout le long du chemin de visite se trouvent des portails rouillés bloquant l’accès à des passages menant vers d’autres parties non visitables des catacombes. Beaucoup d’entre elles n’ont  jamais été rénovées ou étaient trop difficiles à inclure dans un itinéraire de visite.

Enfin, dans une caverne visible juste avant d’accéder aux escaliers de sortie et qui mènent à un bâtiment situé rue Dareau (ancienne "rue des Catacombes") au-dessus, on peut voir un exemple de cloche de fontis. Il s’agit d’un effondrement du plafond de la galerie, ici haut de 11 mètres. On en trouve deux à la sortie des Catacombes de Paris, formant des dômes heureusement renforcés par les services d’Inspection des Carrières. Les dates peintes sur la clé de voûte de chacune de ces cloches témoignent de l’année à laquelle les travaux de réparation de ces cavernes effondrées fut effectué et indiquent si elles se sont dégradées depuis.

Notez que ces fontis furent la cause d’un mouvement de panique générale à la fin du 18ème siècle à Paris, après que plusieurs maisons et routes se soient écroulées dans des cavernes souterraines dont on ne connaissait auparavant pas l’existence.

Une source d’inspiration et lieu d’évènements historiques

Comme vous pourrez peut-être le voir, les murs des catacombes sont couverts de graffitis. Ceux-ci datent du 18ème siècle pour la plupart. Il faut dire que le réseau souterrain fut on ne peut plus vivant ces derniers temps, ayant été le théâtre de plusieurs scènes des Misérables, Victor Hugo exploitant sa connaissance poussée des lieux dans son roman. En 1871, des Communards tuèrent un groupe de monarchistes dans une chambre. Durant la Seconde Guerre Mondiale, des résistants parisiens utilisèrent le système de tunnels pour leurs actions. En parallèle, des soldats allemands avaient établi un bunker souterrain dans les catacombes sous le Lycée Montaigne.


Enfin, plus récemment, un groupe de vandales dégrada grandement le monument en septembre 2009, entraînant la fermeture immédiate du lieu aux visiteurs. Les catacombes de Paris rouvrirent finalement leurs portes en décembre de l’année dernière pour le plus grand plaisir des touristes.

Voir toutes les photos des Catacombes de Paris ou Ossuaire Municipal dans la galerie photos de TravelPics.fr

Article et photos par Alexandre Rosa

3 Comments

  • Sylvie dit :

    En voyant ces photos, on peut imaginer l’ambiance très spéciale qui doit régner lors de ces visites.
    Ce qui m’impressionne beaucoup, ce sont ces longs murs faits de tibias et de crânes bien alignés.

  • Thomas dit :

    Bon article de synthèse sur l’ossuaire municipal de Denfert-Rochereau (dénommé par abus de langage Catacombes), malgré quelques légères approximations et les confusions qui sont habituelles entre Catacombes (= cet Ossuaire) et catacombes (= anciennes carrières souterraines ce la Ville de Paris).

    Photos agréables !

  • Sandrine dit :

    Très belles photos . Cet article m’a fait découvrir d’une manière concise une partie de l’histoire de Paris.

Trackbacks / Pingbacks

Laisser un commentaire

Back to Top