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Les Aiguilles de Port-Coton à Belle-Île en Mer : le trésor de Claude Monet

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Moctezuma : Aztec Ruler au British Museum – l’expo sur le dernier empereur Aztèque

Posté le Vendredi 16 octobre 2009dans Art, Histoire, Londres, Mexique, Muséespar Alexandre RosaImprimerText Resizer Text Resizer

Depuis le 24 Septembre 2009 et jusqu’au 24 Janvier 2010, le British Museum de Londres complète sa série d’expositions évènementielles consacrées au pouvoir et aux empires. Le plus prestigieux des musées d’outre-Manche se concentre cette fois sur le dernier empereur Aztèque : Moctezuma II. Organisée dans la grande bibliothèque centrale du musée (la Reading Room), située au centre de ce dernier, sous la grande verrière qui couvre désormais son ancienne cour intérieur, Moctezuma : Aztec Ruler est la première exposition à examiner le statut semi-mythique de Moctezuma et son héritage aujourd’hui.

Le thème n’est pas sans rappeler l’exposition du Musée du Quai Branly, Teotihuacan, que nous visitions en avant-première pas plus tard que la semaine dernière. Au Royaume-Uni également comme en France, de nombreux objets présentés au British Museum sont des prêts en provenance d’importants musée mexicains et européens, et sont exposés pour la première fois en Angleterre.

Deux expositions sur les aztèques en même temps? Rien d’étonnant quand on sait qu’elles ne font qu’anticiper deux anniversaires importants pour le Mexique qui auront lieu en 2010 : 00744140_001l’indépendance du Mexique (1810) et la révolution mexicaine (1910).

Moctezuma : Aztec Ruler fait suite à trois autres grosses expositions organisées au même endroit. La première, The First Emperor: China’s Terracotta Army, avait fait venir en Europe d’incroyables statues de l’armée en terre cuite chinoise qui appartenait à l’empereur Qin Shihuangdi. La seconde se consacrait à Hadrien, l’empereur romain qui a construit la fameuse “muraille de Chine” européenne qui coupe le nord de l’Angleterre d’ouest en est et qui délimitait la frontière nord de son empire. Hadrian: Empire and Conflict a duré du 24 Juillet au 26 Octobre 2008. A suivi une exposition sur le Shah Abbas, du 19 Février au 14 Juin 2009. Shah’Abbas: The Remaking of Iran revient sur le règne de ce leader qui a régné de 1587 à 1629.

Moctezuma, lui, a régné de 1502 à 1520, et a consolidé le contrôle des aztèques sur un empire politiquement complexe qui, au début du 16ème siècle, s’étendait des côtes du Pacifique au Golfe du Mexique. Moctezuma était vu comme une figure semi-divine par ses sujets, et il était chargé de communiquer avec les dieux pour eux. En tant que général rompu à la guerre, il a été élu commandeur militaire suprême et était à la tête des deux ordres de guerriers les plus prestigieux : les guerriers aigles et jaguars.

Il fut élu empereur (“huey tlatoani” en nahuatl, le langage aztèque) en 1502 et construisit un nouveau palais au cœur de Tenochtitlan (l’actuelle ville de Mexico et alors capitale aztèque). L’arrivée des espagnols, durant le règne de Moctezuma, a été le déclencheur de la chute de son empire et l’imposition d’une nouvelle civilisation qui a donné naissance au Mexique moderne.

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D’une certaine manière, Moctezuma : Aztec Ruler est plus clairement organisée que Teotihuacan au Musée du Quai Branly. La visite étant organisée comme un parcours serpentant entre les panneaux de cette exposition provisoire, l’ordre et la progression du récit sont imposés, ce qui rend l’ensemble plus naturel et plus “achevé”, alors que l’exposition parisienne fait tourner les visiteurs dans un espace circulaire au milieu duquel on se sent un peu perdu.

Par ailleurs, Moctezuma : Aztec Ruler étant principalement consacrée au personnage qu’était le dernier empereur aztèque, le visiteur se sent plus impliqué dans le récit qui lui est conté que s’il suit l’histoire et l’évolution d’une ville ou d’un empire de manière très générale. Les deux manières de traiter le même sujet (les aztèques) de chaque côté de la Manche diffèrent donc totalement, la version anglaise étant plus humaine.


Pour la première fois, l’exposition Moctezuma : Aztec Ruler du British Museum présente un récit biographique de Moctezuma II et révèle la dualité de sa réputation. D’un côté, il est reconnu comme un guerrier rusé et victorieux, mais il est aussi largement connu comme une figure tragique qui a cédé son empire aux étrangers. Des interprétations contraires de sa mort mystérieuse sont réexaminées dans cette exposition.

Elle présente également de véritables chef-d’œuvres de la culture Aztèque, y compris d’impressionnants monuments de pierre connus sous le nom de Teocalli de la Guerre Sacrée ainsi que d’autres œuvres commandées par Moctezuma lui-même et qui figurent son nom ou le mettent en scène.

Un superbe masque de turquoise et d’or montre le talent des artisans qui travaillaient pour la cour aztèque. Des tableaux appelés “enconchados” (des peintures à l’huile sur des panneaux de bois avec des perles incrustées) représentent les évènements de la conquête espagnole avec force détails. Des portraits européens idéalisés de Moctezuma (dont celui qui ouvre l’exposition, réalisé en Espagne dans les années 1600, montre que la gloire de Moctezuma était plus célébrée en Europe qu’au Mexique même) et d’étonnants codex européens (en fait d’anciens livres écrits à la main et richement illustrés) ont aidé à former les interprétations des historiens sur Moctezuma et son monde.

Certains des objets exposés proviennent directement des collections du British Museum. Parmi toutes les salles de ce musée consacré à ce que certains appellent les “vieilles pierres”, il en est une qui est en effet dédiée au Mexique. Elle reste ouverte pendant la durée de l’exposition temporaire en dépit du fait qu’elle soit privée de ses pièces les plus importantes.

Moctezuma est quant à lui introduit au sein de l’exposition au travers de sa pierre de couronnement. On nous explique comment, une fois nominé pour succéder à son oncle, il dut faire ses preuves à travers de nombreuses campagnes militaires avant de pouvoir prendre le pouvoir officiellement. Ce sont les fameuses guerres du couronnement. Lors de la cérémonie qui l’a rendu roi en 1502, il reçut les insignes de son rang, y compris certains masques de turquoise précieux devenus célèbres et des objets en or pour sa parure personnelle. Moctezuma construisit un nouveau palais pour administrer son empire et y vécut avec ses épouses, ses enfants et sa cour. De nombreux fragments d’architecture provenant des fouilles du palais sont exposés.

Moctezuma était un intermédiaire essentiel avec les dieux Aztèques et était lui-même considéré par ses sujets comme une figure semi-divine. Il priait au Grand Temple, une énorme pyramide édifiée au cœur du centre rituel de Tenochtitlan. Une maquette du temple et des autres bâtiments de culte est présentée dans l’exposition.

Moctezuma aurait orchestré de nombreuses effusion de sang rituelles, et a ordonné le sacrifice de captifs. L’exposition examine les dieux les plus importants vénérés à l’époque, dont Quetzalcoatl. On croit que Moctezuma a considéré Cortès comme une incarnation du dieu serpent à plumes, revenu sur Terre récupérer le trône, bien que cela ait été contesté par des études récentes. La fin de la section consacrée à la religion se concentre sur la cérémonie du Feu Nouveau. Cette dernière marquait la fin des cycles de 52 ans dont le calendrier aztèque était constitué. La dernière cérémonie du Feu Nouveau a eu lieu pendant le règne de Moctezuma et peut être datée à 1508.

Moctezuma était un guerrier redoutable et chef de l’armée aztèque. Une sélection d’armes de cérémonie ainsi qu’un imposant monument sculpté de guerriers mexica sont exposés. Le site de Malinalco, où l’ordre des guerriers d’élite jaguars et aigles fut fondé, est particulièrement important. Moctezuma a consolidé l’empire aztèque et a assuré sa capitale Tenochtitlan de recevoir d’importantes taxes de tout l’empire. Soutirer ce tribut sous forme de matières premières ou de biens fabriqués a contribué à l’opulence de la Cour, mais signifiait que Moctezuma était craint et détesté dans les villes provinciales.


L’Espagnol Hernan Cortès débarqua sur la côte en 1519 avec quelques centaines d’hommes. Au même moment, les Mexica (le vrai nom des aztèques) ont dit avoir été témoin de signes étranges en provenance des cieux. Ils furent représentés plus tard dans les codex. Moctezuma envoya des émissaires vers la côte avec des cadeaux pour Cortès. Mais ce dernier contracta des alliances avec des peuples rivaux des Aztèques en chemin vers Tenochtitlan.

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Moctezuma accueilli Cortès dans sa capitale et commit l’erreur fatale de permettre aux espagnols de loger dans un palais au cœur de la ville. Les Espagnols ont capturé Moctezuma et le trouble fut jeté sur la cité après que les espagnols aient massacré bon nombre de nobles mexica. Peu de temps après, Moctezuma mourut. Il est largement admis qu’il fut lapidé à mort par son propre peuple. Toutefois, ceci n’est que la version espagnole de l’histoire, les sources indigènes ayant été entièrement détruites pendant la conquête du Mexique. D’autres sources affirment en effet qu’il fut en fait secrètement assassiné par les Espagnols. Les principaux événements de la conquête sont documentées par une série de peintures coloniales exposées au British Museum.

Après la mort de Moctezuma, les espagnols ont conquis l’empire aztèque avec l’aide des ennemis de ce dernier. Certains éléments exposés au British Museum ont été retravaillés par les Espagnols et transformés, au point d’en changer complètement le sens, comme cette sculpture du dieu-serpent à plumes Quetzalcoatl qui fut renversée et transformée en bénitier. Les filles de Moctezuma, Isabel et Mariana, et son fils Pedro ont survécu à la conquête. Des codex montrent comment ils se sont rendus en Espagne et se sont mariés avec des nobles locaux.

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Préparatifs de l’exposition à Mexico City

Moctezuma jouit d’une réputation ambivalente au Mexique aujourd’hui, mais sa renommée survécut à travers l’Europe qu’il fascine toujours. L’exposition se termine avec des portraits européens de Moctezuma. Ils le représentent comme un homme qui fut un fier guerrier ou comme une figure tragique qui a renoncé à son empire, mais dont la renommée n’a pas diminué.

Reportage par Alexandre Rosa et Rakel Edda
Photos et article par Alexandre Rosa
© the Trustees of the British Museum – TravelPics.fr

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